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 Note bibliographique du débat du 21.02.2009

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Nader




Nombre de messages : 28
Date d'inscription : 03/08/2008

Note bibliographique du débat du 21.02.2009 Empty
MessageSujet: Note bibliographique du débat du 21.02.2009   Note bibliographique du débat du 21.02.2009 Empty23/2/2009, 01:57

1.Pour une étude plus approfondie, cf. La nature de la société, Organicisme
et sciences sociales au XIXe siècle,
Claude Blanckaert, Paris, Harmattan, 2005.
Depuis la Révolution française, la sociologie s'est présentée et représentée
comme
une " physiologie " attachée à rendre sa liberté d'allure à un " corps
social " préjugé souffrant, voire moribond. Le sociologue du XIXe
siècle connaît ses codes sémiotiques. Il scrute l'irritabilité des
organes, enregistre les fièvres civiles et s'efforce d'en comprendre
l'origine. Les phénomènes sociaux, en effet, ne vont pas sans raisons.
La
physiologie est déterministe. Son expertise s'étend aux régulations
d'ensemble d'un " superorganisme " social dont l'anatomie morale et les
équilibres
spontanés procèdent, comme il est d'usage dans les sciences du vivant,
d'une problématique des rapports entre structure et fonction, de la
hiérarchie des parties constituantes et de l'accommodation aux
circonstances externes.
Par convergence de but et de moyen, la
sociologie rencontre le paradigme de l'organisation. Elle s'agglomère
avec l'histoire naturelle jusqu'à s'y confondre pour former avec elle
une doctrine connue depuis lors sous le nom d'"organicisme ". Mais la "
sociologie biologique ", comme la nommeront
défenseurs et détracteurs, n'est pas seulement une science descriptive. C'est aussi une philosophie normative.
Tout au long du siècle, elle s'avérera politiquement surdéterminée par son
désir d'ordre et sa morale du consensus. Elle participe ainsi d'un discours de
propagande
et d'inculcation dont l'efficace ne s'est pas démentie depuis Volney et
Saint-Simon jusqu'à Durkheim. Cet ouvrage interroge la périodisation du
mouvement organiciste, l'étayage biologique des réflexions menées sur
la " nature " de la société et l'inspiration solidariste au cœur de la
"question sociale ".

[2]. Paul de Tarse (à l'origine Saül) ou saint Paul pour les chrétiens (né v. 10 à Tarse, en Cilicie (auj. İçe, en Turquie) – mort v. 65 à Rome) est l'une des figures principales du christianisme, par le rôle qu'il a joué dans son expansion initiale, et par son interprétation de l'enseignement de Jésus. Selon le Nouveau Testament (livre des Actes des Apôtres et Épîtres de Paul), Paul se revendique comme l'un des apôtres de Jésus-Christ qui, quelques années après sa mort, sa résurrection et son ascension, lui serait apparu et l'aurait converti. http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_de_Tarse,
lecture, le 21.02.2009


[3]
.La plus belle femme du monde était Hélène, fille de Zeuseet
de Léda, et soeur de Castor et Pollux. La renommée de sa beauté était
telle qu'il n'existait pas un seul prince, qui ne souhaitât l'épouser.
Quand ses prétendants se rassemblèrent dans sa demeure pour demander
officiellement sa main, ils étaientsi nombreux que son père putatif, le
Roi Tyndare, époux de sa mère, s'effraya d'en élire un parmi eux dans
la crainte que les autres s'unissent tous contre lui. C'est pourquoi il
commença par exiger d'eux le serment qu'ils soutiendraient la cause du
mari d'Hélène, quel qu'il fût, si jamais un tort lui était fait à la
suite de son mariage. Somme toute, tous trouvaient avantage à ce
serment puisque chacun d'eux espérait être l'heureux élu ; tous
s'engagèrent donc à châtier avec la plus extrême rigueur quiconque
enlèverait ou tenterait d'enlever Hélène. Tyndare choisit alors Ménélas, frère d'Agamemnon, et le fit Roi de Sparte par surcroît.
ttp://www.planet-turquie-guide.com/helene.htm, lecture, 21.02.2009

[4]
. Protagoras (en grec ancien Πρωταγόρας / Prôtagóras) est né à Abdère en Thrace vers 485 et mort vers 420 av. J.-C. Il fut un philosophe présocratique et l'un des enseignants professionnels grecs appelés sophistes par Socrate. Il enseigna une pensée proche de Démocrite qui
lui succéda probablement, si l'on se fie à l'âge de ce dernier. Par son ami Périclès, il influença la pensée politique contemporaine d’Athènes. Ses idées sur la rhétorique et le droit ont amené le système adversaire dans lequel on
amène un étudiant à débattre pour les deux parties en guise d'entraînement en droit. http://fr.wikipedia.org/wiki/Protagoras, lecture, le 21.02.2009


[5].William James (11 janvier 1842 à New York - 26 août
1910 à Chocorua dans le New Hampshire) est un psychologue et philosophe américain, fils d'Henry James, le disciple de Swedenborg, et frère aîné d'Henry James, romancier célèbre. Docteur en médecine, il s'efforce tout d'abord de constituer une psychologie scientifique (Principes de psychologie, 1890), puis défend les principes du pragmatisme, dont il est un des leaders, notion qu'il emprunte à Charles Sanders Peirce.
William James affirme que la vérité est relative aux procédures de vérification expérimentale, à la communauté d'une époque, à un contexte théorique, etc. La vérité, pour lui, n'est donc pas la propriété inhérente d'un énoncé ; elle n'est qu'un évènement, c'est-à-dire une affirmation momentanément et partiellement juste et fiable. Le pragmatisme
de William James se résume par sa célèbre formule : « Le vrai consiste
simplement dans ce qui est avantageux pour la pensée. » William James
& Carl Lange élaborent
en 1884 la théorie des émotions : théorie James-Lange. Pour eux,
l'émotion traduit une réponse aux modifications physiologiques. « Nous
nous sentons tristes parce que nous pleurons, en colère parce que nous
frappons quelqu'un et effrayés parce que nous tremblons. » http://fr.wikipedia.org wiki/William_James, lecture, 21.02.2009
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