.....,les autres perdent leur vie à s'interroger.
Aucunes maximes n'a été formulée sur ce débat pour lequel je trouve que nous avons quelques difficultés à soulever la problèmatique de celui qui a exprimé cette affirmation. Pour ma part je trouve une certaine indescance à évoquer certains malheurs. Ce que j'ai envie de formuler sur ce forum serait cette observation: le malheur est une notion relative dans son absolu, , également une autre observation qui fait remarquer que s'interroger est une preuve de réflexion et si elle aboutit à des actions, permet d'avancer, donc de lutter. l'interrogation sans action enfermerait l'individu probablement dans un malaise susceptible de le rendre sans cesse malheureux. Se poser des questions n'est-ce pas lutter. Lutter pour sa survie ou lutter pour trouver un sens à la vie? Comparer est-il justifiable? De quelle lutte est-il question? qui étaient ces malheureux évoqués?
Il a été question d'injustice, de douleurs du corps , de coups du sort, de peuples massacrés et affamés.,de souffrances psychologiques Je pose la question : a-ton vraiment le droit de parler de faits qu'on n'a pas forcément subi?